Le premier est l’éducation et le monde du travail. Il est regrettable que la présence des femmes sur le marché du travail soit passée d
e 35% en 1998 à 25% aujourd’hui, même si l’on voit des signes encourageants dans certains domaines - au niveau du nombre de femmes avocates ou médecins, par exemple - mais si nous voulons atteindre les objectifs de la stratégie de Lisbonne, qui prévoient un taux de participation des femmes au marché du travail de 60%, cette situation n’est pas satisfaisante, et si la Turquie veut être un
pays candidat, elle doit en être c ...[+++]onsciente.
The first is education and the world of work; the unfortunate fact is that the presence of women on the labour market has decreased from 35% in 1998 to 25% today, even though there are hopeful signs in some areas – in the number of women practising as lawyers and physicians, for instance – but, if the Lisbon Strategy’s targets, which include 60% participation of women in the labour market, are to be met, none of this fits together, and, if Turkey wants to be a candidate, it has to be well aware of that.