Comme le disait un porte-parole des Services correctionnels du Canada à un journaliste de Radio-Canada, en mars dernier, les crimes d'Auger n'avaient pas été considérés comme violents parce que les victimes étaient des prostituées et que, par conséquent, il y avait dans leur cas un certain degré de consentement.
As a Correctional Service Canada spokesman stated to a CBC reporter last March, Auger's crimes were not viewed as being violent because the victims were prostitutes and this implied a level of consent.