Dans l'affaire Lovelace, il s'agissait de savoir si une province pouvait engager un dialogue politique avec les Premières nations, créer un régime juridique concernant le jeu et le partage des recettes, et établir une voie et un processus distincts en rapport avec ce que la Cour suprême du Canada appelle les Autochtones non membres d'une bande.
In the Lovelace case, the issue was whether a province could enter into a political dialogue with First Nations, set up a legal regime with respect to gaming and revenue sharing, and have a different track and process with respect to what the Supreme Court of Canada calls non-band Aboriginal people.