Dans sa lettre du 11 décembre 1998 à l'intention des présidents des banques, où il omet de soutenir les fusions, le bureau a essentiellement laissé entendre que les fusions n'occasionneraient aucun gain d'efficience et que, en raison d'une réduction du nombre de joueurs sur certains marchés, les résultats pour le consommateur seraient négatifs, car cela occasionnerait une hausse des prix.
In its letter to the bank presidents on December 11, 1998, where it failed to support the mergers, the bureau basically suggested that there were not going to be any efficiency gains at all, and, because of a reduction in the number of players in certain markets, it would be bad for the consumer because it would cause price increases.