If we follow the US’s lead, our emergency management planning will lean toward terrorism as the predominant and overriding hazard (which it is not) and set back the gains we’ve made in emergency management to date in Canada, which has been the very unfortunate result in the US.
Si nous suivons l’exemple des États-Unis, notre planification de la gestion des mesures d’urgence aura tendance à présumer que le terrorisme est le risque prédominant et prépondérant (ce qui n’est pas le cas) et nous fera perdre les gains réalisés dans la gestion des mesures d’urgence jusqu’à présent au Canada; cette façon de faire a donné des résultats très déplorables aux États-Unis.