Nous déplorons aussi que le se
crétaire d'État ait fait faire le travail qu'il aurait dû faire, depuis un an et demi, quant à la révision de la Loi sur les banques, par des comités restreints, encore une fois, qui travailleront probablement derrière des portes closes, comme le gouvernement nous y a habitués dans le processus de révision de la fiscalité et dans le scandal
e qui a entouré les fiducies familiales de deux m
illiards de dollars transférés aux États ...[+++]-Unis, sans aucun paiement d'impôt.