The only other choice is to see their land, field by field, surrendered to the banks and multinational companies that can afford to wait until this government stops digging in its spiked shoes or the EU countries lower support to their farmers.
Sinon, nos agriculteurs devront remettre leurs terres, une à une, aux banques et aux multinationales qui peuvent se permettre d'attendre que le gouvernement cesse de s'entêter ou que les pays de l'UE réduisent l'aide qu'ils accordent à leurs agriculteurs.