On October 19, 2000, in a letter to Congress focused specifically on the Armenian question, then-President Clinton indicated his opposition to acknowledging the genocide, due to the far-reaching negative consequences for significant U.S. interests in the region, such as the containment of Saddam Hussein.
Le 19 octobre 2000, dans une lettre au Congrès portant expressément sur la question arménienne, le président Clinton a signifié son opposition à la reconnaissance du génocide à cause des graves conséquences que cela aurait pour les importants intérêts américains dans la région, comme le contrôle de Saddam Hussein.