Would the Commission not agree that the increase in the number of official languages from 11 to 20 following the enlargement provides no justification whatsoever for the current regime of three working languages (EN, FR and DE), but on the contrary is an argument in favour of the use of other languages as well (including Italian, given its widespread use)?
La Commission n’estime-t-elle pas que l’élargissement et le passage du nombre des langues officielles de 11 à 20 ne sauraient constituer un argument, mais sont des motifs supplémentaires de réfléchir sur la nécessité d’utiliser des langues telles que l’italien, eu égard à sa diffusion, en plus des langues de travail actuelles (anglais, français et allemand)?