The Commission's investigation confirmed that, subject to the divestment of Johnson Johnson's trauma business, the merged entity would continue to face competition from a number of other strong competitors and that customers would still have sufficient alternative suppliers in all of the markets concerned.
L'enquête de la Commission a confirmé que, sous réserve de la cession des activités de Johnson Johnson dans le secteur de la traumatologie, l'entité issue de la concentration continuerait d'être confrontée à plusieurs autres concurrents puissants et que les clients auraient toujours accès à un nombre suffisant d’autres fournisseurs sur l’ensemble des marchés en cause.