It is becoming increasingly apparent that until we are able to effectively address the issues of poverty, alcoholism, family violence, abuse, racism and illiteracy just to name a few, our legislative efforts at reducing youth crime will continue to be deemed as insufficient.
Il est de plus en plus évident que tant que nous n'aurons pas réglé, entre autres, les problèmes de la pauvreté, de l'alcoolisme, de la violence familiale, des mauvais traitements, du racisme et de l'analphabétisme, nos efforts législatifs en vue de réduire la criminalité chez les jeunes continueront à être jugés insuffisants.