Even if you accept that there can be, as you say, a regime of the exception or different treatment for non-citizens compared to citizens, once torture is taken off the table, then we have to start thinking about alternatives to the immigration law.
Même si on accepte qu'il peut y avoir, comme vous le dites, un régime d'exception ou de traitement différent pour les non-citoyens comparativement aux citoyens, une fois que la torture ne fait plus partie du tableau, nous devons commencer alors à penser à d'autres solutions que la loi sur l'immigration.