Has the growth in Canada with the walk-in clinics, for lack of a better expression, where it's not a sole practitioner but a group of physicians who get together, in any way alleviated some of the stress or pressure that female physicians are under because of family commitments or that type of thing?
Vous avez dit que les femmes sont plutôt attirées par la médecine familiale ou ce genre de médecine. La croissance, au Canada, de ce que j'appellerais, faute d'un meilleur terme, les cliniques sans rendez-vous, exploitées non par un seul médecin, mais par un groupe de médecins, a, d'une certaine manière, soulagé le stress ou diminué la pression que subissent les femmes médecins en raison de leurs engagements, familiaux ou autres?