The creation of the independent Anti-Fraud Office (OLAF) is certainly significant progress towards achieving such conditions: The OLAF Regulation specifies, for instance, that all officials and servants of the Commission and other Institutions now have an explicit duty to inform superiors inside the individual's Department, or the Secretary General, or the Anti-Fraud Office directly, if they "become aware of evidence which gives rise to a presumption of the existence of any form of wrongdoing or serious failure to discharge professional duties".
La création d'un Office européen de lutte antifraude (OLAF) indépendant représente incontestablement un progrès considérable vers la réalisation de telles conditions. Le règlement de l'OLAF dispose, par exemple, que tout fonctionnaire ou agent de la Commission ou d'autres institutions est désormais tenu d'informer soit son chef de service ou directeur général, soit le Secrétariat général, soit l'Office européen de lutte antifraude directement, s'il acquiert la connaissance d'éléments de preuve laissant présumer l'existence d'éventuels irrégularités ou graves manquements liés à l'exercice d'activités professionnelles.